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Skyrim combine un nouveau moteur graphique, offrant de jolis effets visuels, à des qualités artistiques que l'on n'espérait plus de la part de Bethesda. Le style nordique est décliné avec maîtrise et inventivité, les environnements sont suffisamment variés et les personnages sont enfin dotés d'une modélisation et d'une animation décentes.
La refonte du système de jeu pourra choquer les puristes l'espace des premières heures de jeu, où ils ne verront que "ce qui manque". Mais ils finiront par s'incliner devant la richesse et la profondeur incommensurables de l'expérience offerte, d'autant que les détails les plus fâcheux pourront être réglés à grand renfort de mods. En revanche, l'inventaire peu pratique importé des versions consoles est, une fois de plus, difficile à avaler.
La trame principale, qui offre un périple d'une vingtaine d'heures de jeu, est complétée par d'innombrables quêtes annexes à dénicher dans la vaste région de Bordeciel, dont certaines sont générées aléatoirement afin de procurer au titre une longévité quasi infinie.
Après les terres désolées de Vvardenfell et les plaines verdoyantes de Cyrodiil, Jemery Soule adapte son art à la région glacée de Bordeciel, avec le talent immense qu'on lui connaît. Ses compositions s'avèrent hautement immersives, d'autant que les bruitages ne sont pas en reste et que les doublages en français sont dans l'ensemble très corrects.
Tout aussi initiatique que celle de Morrowind, la trame principale met un peu de temps à démarrer, mais finit par prendre son envol tel un dragon. Comme de coutume, le joueur se plaira surtout à écrire sa propre histoire au travers des nombreuses quêtes annexes. On appréciera comme il se doit le retour de la culture dwemmer et l'arrivée des enfants.
Aussi rude que les nuits glacées de Bordeciel, aussi froid et brutal que l'acier des Nordiques, Skyrim sait, à l'occasion, se montrer chaleureux et convivial comme une coupe d'hydromel au coin du feu. Rares sont les jeux de rôle capables de fédérer à travers une même expérience les vieux routards et les néophytes, mais ce cinquième volet de la saga des Elder Scrolls le fait avec brio. Les plus conservateurs d'entre vous ne pesteront pas bien longtemps contre les modifications et les coupes opérées, tant la refonte du système de jeu s'avère probante et l'expérience plus immersive que jamais. Dotée d'une richesse et d'une densité phénoménales, mais aussi d'une topographie sans concession, la vaste Province de Bordeciel est une invitation permanente à la découverte, à la contemplation et aux actes de bravoure les plus héroïques. Seule l'interface inconfortable entrave l'accès de Skyrim au Valhalla, mais cela ne nous empêchera pas de vous le recommander chaudement, bien que ce ne soit pas l'adverbe le plus approprié !
La refonte du système de jeu pourra choquer les puristes l'espace des premières heures de jeu, où ils ne verront que "ce qui manque". Mais ils finiront par s'incliner devant la richesse et la profondeur incommensurables de l'expérience offerte, d'autant que les détails les plus fâcheux pourront être réglés à grand renfort de mods. En revanche, l'inventaire peu pratique importé des versions consoles est, une fois de plus, difficile à avaler.
La trame principale, qui offre un périple d'une vingtaine d'heures de jeu, est complétée par d'innombrables quêtes annexes à dénicher dans la vaste région de Bordeciel, dont certaines sont générées aléatoirement afin de procurer au titre une longévité quasi infinie.
Après les terres désolées de Vvardenfell et les plaines verdoyantes de Cyrodiil, Jemery Soule adapte son art à la région glacée de Bordeciel, avec le talent immense qu'on lui connaît. Ses compositions s'avèrent hautement immersives, d'autant que les bruitages ne sont pas en reste et que les doublages en français sont dans l'ensemble très corrects.
Tout aussi initiatique que celle de Morrowind, la trame principale met un peu de temps à démarrer, mais finit par prendre son envol tel un dragon. Comme de coutume, le joueur se plaira surtout à écrire sa propre histoire au travers des nombreuses quêtes annexes. On appréciera comme il se doit le retour de la culture dwemmer et l'arrivée des enfants.
Aussi rude que les nuits glacées de Bordeciel, aussi froid et brutal que l'acier des Nordiques, Skyrim sait, à l'occasion, se montrer chaleureux et convivial comme une coupe d'hydromel au coin du feu. Rares sont les jeux de rôle capables de fédérer à travers une même expérience les vieux routards et les néophytes, mais ce cinquième volet de la saga des Elder Scrolls le fait avec brio. Les plus conservateurs d'entre vous ne pesteront pas bien longtemps contre les modifications et les coupes opérées, tant la refonte du système de jeu s'avère probante et l'expérience plus immersive que jamais. Dotée d'une richesse et d'une densité phénoménales, mais aussi d'une topographie sans concession, la vaste Province de Bordeciel est une invitation permanente à la découverte, à la contemplation et aux actes de bravoure les plus héroïques. Seule l'interface inconfortable entrave l'accès de Skyrim au Valhalla, mais cela ne nous empêchera pas de vous le recommander chaudement, bien que ce ne soit pas l'adverbe le plus approprié !